À travers une sélection d’œuvres posthumes issues des collections du musée – sculptures, bustes, médailles, cartes postales, photographies – l’exposition explore la construction d’un imaginaire autour de Julien Viaud, alias Pierre Loti. Certaines pièces ont été restaurées pour l’occasion, à l’image d’un plâtre signé Pascal Boureille, longtemps mal attribué, et qui révèle une vision poétique et audacieuse de l’écrivain-marin selon le journal.

“Une des pièces les plus intéressantes est un plâtre, travail préparatoire d’une sculpture qui n’a jamais vu le jour. Cet objet mal attribué a retrouvé, après nettoyage, son auteur originel Pascal Boureille. Sa proposition est celle d’un Loti très Art déco, moins académique, debout sur une étrave aux faces travaillées et très poétiques.”

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